Ici, on parle de tout et de rien

12/08/2019

Et cetera, et caetera. Les deux formules s'écrivent. On préfère la seconde, on a choisi la première pour notre nouvelle rubrique. Allez savoir pourquoi ! Peut-être parce qu'à l'ère des sms et des textos, mieux valait aller au plus simple, histoire de ne pas embrouiller le quidam.

Chez les coiffeurs hommes aussi, on papote, on palabre, on radote...
Chez les coiffeurs hommes aussi, on papote, on palabre, on radote...

L'heure est donc venue d'expliquer le choix du nom de la publication " Angers etc. " Au moment de le déposer (déclaration auprès de l'AFNIC) afin de lui donner une identité, nous avons eu la surprise de découvrir qu'il était libre sous l'extension .fr. Ce nom était tellement évident, tellement simple, tellement juste pour ce projet de site internet, qu'il était impensable de passer à côté, ou d'en choisir un autre. À ce jour, il nous semble incroyablement étrange que personne n'est pensé à l'utiliser avant nous, ne serait-ce que pour une raison sociale, commerciale, ou pour une association. Tant mieux ! D'autant qu'il exonère de toute interminable explication l'objet et l'intention de ce journal internet.

L'heure est aussi venue de légitimer ce « etc. », sorte de patati patata ou de bla bla bla à la sauce latine, en justifiant - avec la création de cette nouvelle rubrique intitulée « Et cetera » - notre devise : on parle de tout et de rien. Ce journal tient néanmoins à rester dans les clous de la bienveillance et de la politesse. Même si cela ne l'empêchera pas de tutoyer les frontières de la dérision et de l'ironie parfois. Car avec cette page, il peut dorénavant aller dans tous les sens, s'égarer et le revendiquer.

Dans sa ligne rédactionnelle, et autant que faire se peut, ce magazine s'en est toujours tenu à un comportement digne et respectueux, à l'exemple de ce que font les autres médias dans leur rapport à la déontologie. En regardant quand même ce qui se fait du côté des blogs, des réseaux sociaux, de la liberté qui est la leur, du ton qui les distingue, de la légèreté qui les anime. Un angle qui diffère de la presse classique, mais nous ressemble. Mais que nous ne savions sous quel ton appréhender. D'où la création de cette rubrique.